

Samedi 19 novembre, le Conseil d’État a rejeté la demande des syndicats de fermer la zone d’attente temporaire pour recevoir les migrants débarqués.Mer-Viking, près de Toulon. Ils estimaient y avoir été illégalement privés de liberté.
” Juge [des référés] Des circonstances particulières nécessitant l’organisation de l’accueil de ces personnes ont été relevées. et observez “Les droits de ces étrangers ne sont pas gravement et manifestement illégalement entravés par ce seul fait.”. L’Association nationale des frontières d’aide aux étrangers (Anafe) a fait appel après le rejet de l’association par un juge du tribunal administratif de Toulon.
234 survivants ont été secourus en Méditerranée par un navire ambulance. Mer-Viking Débarqués à Toulon le 11 novembre, ils ont été transférés à cet endroit et formés à Hyères dans le Var, à la station balnéaire de la presqu’île de Giens, le temps de l’instruction de leurs dossiers.
La plupart d’entre eux ont été libérés sur décision de justice, soit en tant que mineurs non accompagnés, soit en tant que demandeurs d’asile après un entretien avec l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). .
“Il n’y a pas d’atteinte grave aux libertés fondamentales (…)”
Le juge par intérim du Conseil d’Etat Ofpra note “Entretiens légitimement programmés disponibles” et “Les juges des libertés et de la détention, puis la cour d’appel d’Aix-en-Provence, ont décidé de prolonger la durée de la détention, mais l’écrasante majorité a refusé.”. Il a en outre noté “À l’exception des quelques heures où les gens se trouvaient à la base militaire, l’association du pétitionnaire avait un accès sans entrave au village de vacances.”.
Selon des articles de presse, le ministère de l’Intérieur, Anafe a “Liste révisée des seize” Stocké dans ce centre, “Afin d’assister le Conseil d’Etat dans l’exécution de ses obligations d’assistance lors de l’audience” qui a eu lieu vendredi “Les avocats peuvent pénétrer dans les villages de vacances”. C’est ce qu’a conclu le juge de la Chambre du Conseil d’État “aucune atteinte grave et manifestement illicite aux libertés fondamentales”.