
Ne touchez pas au réseau électrique. Le gouvernement a pris position mardi 24 janvier contre l’Union syndicale unie (ULU), qui menace de couper l’électricité ou de trafiquer les compteurs pour réduire les factures de certains clients dans le cadre de la réforme des retraites. , fortement combattu par le syndicat.
La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a appelé la population à porter plainte contre les coupures d’électricité qui menacent de mettre en place la CGT pour défaire la réforme des retraites. “Ce n’est pas légal”Le ministre s’est dit sur RMC, averti du risque “Pause” certaines installations industrielles en cas de panne de courant. “Nous pouvons nous opposer au projet de loi, nous pouvons protester, nous pouvons parler fermement à la télévision, mais nous ne pouvons pas intimider.”Il a répété.
Des licenciements volontaires limités ont déjà eu lieu la semaine dernière. Le député de la Renaissance, Lot Huguet Tiegna, a déclaré que son bureau du centre de Figeac s’était retrouvé sans électricité lors d’une manifestation contre la réforme des retraites jeudi.
“La panne a eu lieu entre 14h00 et 17h45 uniquement dans les rues, les sous-comtés et les magasins où j’habite, y compris les pharmacies et les boulangeries. Il vise la permanence, le CWG a annoncé qu’il allait agir.”a-t-il déclaré à l’AFP. “Cela aurait pu mettre en danger la vie humaine et la vie des personnes sous appareil respiratoire.”. Lui, comme Enedis, a dit vouloir porter plainte, ce qui a confirmé la coupure.
“L’approbation de la loi ne dépend pas de CZN”
Jeudi, Enedis a défini deux autres licenciements volontaires et limités, touchant notamment la zone industrielle de Massy (Essonne) et des milliers de clients dans des bâtiments de province, des conseils départementaux, des conseils régionaux, des communes et des bâtiments universitaires. Essai à Chaumont (Haute-Marne).
“L’approbation de la loi ne dépend pas de CZN” mais “aux parlementaires”martèle, pour lui, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, mardi d’Europe 1, après avoir évoqué la possibilité de la CGT-Energie, à Marseille, de mener. “contre-manipulation” De cette façon, les boulangers peuvent bénéficier de frais considérablement réduits.
“Nous avons la capacité technique de le faire sans mettre en danger les biens ou les personnes.”Le secrétaire général Renaud Henry a déclaré à l’AFP qu’il n’avait pas donné de détails sur la marche à suivre. “complètement illégal”. Le maire a critiqué de telles mesures “inacceptable”.
La CGT Mines-Energie, premier syndicat de l’industrie électrique et gazière (IEG) à supprimer le régime spécial de retraite, a prévenu lundi qu’elle n’écarterait rien. “Jusqu’au téléchargement” du projet.