
Congrès du PS : les socialistes peuvent transiger demain
Le premier après-midi n’a vu aucun débat et aucun progrès. Réunis au Palais du Faro à Marseille depuis trois jours, les socialistes ne semblent pas pressés de trouver une issue à la crise. Elle a abouti à une élection houleuse née de mauvais scores et de ressentiment à l’égard des élections présidentielles et législatives, et a été soupçonnée de fraude et d’appels d’oiseaux.
Le 19 janvier, Olivier Faure a terminé par une victoire face à Nicolas Mayer-Rossignol, le maire de Rouen. Depuis lors, les deux camps, en désaccord sur l’adhésion au Nup ou l’indépendance du parti, n’ont pas pu s’entendre sur seulement 44 000 membres et se sont livrés à un théâtre d’ombres.
Plus de 44 000 membres ne sont pas d’accord
Le Congrès peut être l’occasion d’organiser un cessez-le-feu. Pour l’instant, tout le monde est encore en poste. Nicolas Maier-Rossinole l’a dit en début d’après-midi après avoir sollicité la direction du collège, qui comprenait le premier secrétaire et trois représentants.Si aucun consensus n’est atteint, un coup d’État aura lieu. Ce sera terrible et le dernier clou dans le cercueil“.
“La porte est ouverte”, a déclaré Faure
Olivier Faure vient d’arriver à Faro.Résultats des élections. La porte est ouverte à tous ceux qui sont prêts à être d’accord avec ma direction. Pour tous ceux qui n’en veulent pas, ils seront une minorité respectable“En observateur intelligent, le troisième candidat a été éliminé dès le premier tour et est proche du maire de Rouen, il attend donc Hélène Geoffroy.”clarification plutôt que compromis. La situation me rappelle la tristesse et la gravité, car on ne parle jamais du fond dans ce parti. J’ai peur que rien ne sorte de ce congrès“.
“La moitié de nos électeurs n’acceptent pas les consignes du CPC”
Tandis que les pourparlers en coulisses, les premiers débats d’orientation entre les deux tables rondes européennes ont révélé le gouffre qui sépare les deux camps en termes de concepts et de visions stratégiques. “La moitié de nos électeurs n’acceptent pas les directives du PCCMarcel Patrick Mennucci a tonné sous le coup de sifflet. La température est un peu montée. Demain elle remontera, car la petite majorité des 180 délégués favorables à Olivier Faure votera pour approuver le vote. 19. Nicolas Mayer-Rossignol et ses partisans sereinement qui peut entraîner une rétention ou une division.