

Le verdict est le même qu’en première instance : la cour d’appel de Corse do Sud a condamné Bruno García-Cruciani à la réclusion à perpétuité le vendredi 27 janvier 2019 pour le meurtre de son ex-compagne et de sa mère. ses enfants, Julie Duib. “Le tribunal, à la majorité d’au moins huit voix, vous a condamné à la réclusion à perpétuité et à vingt-deux ans de sûreté.”a déclaré le président Bruno Garcia-Cruciani.
Cet homme de 46 ans, reconnu coupable de meurtre, est aussi A “l’avortement de l’autorité parentale” Le tribunal a conclu que l’homme de 34 ans avait tué ses deux fils, âgés de 12 et 14 ans, qui étaient avec Julie Duib. “Il fait passer ses propres intérêts avant ceux de ses enfants”. M. García-Cruciani a également été condamné à verser 10 000 € à la famille Duib. Il dispose de cinq jours pour faire appel.
L’homme, qui s’est excusé avant que le jury n’aille délibérer sur la décision, est resté tranquille dans la loge. La famille de Duib a révélé son aide.
“Performance propre et simple”
Pour Jordan Duib, le frère de Julie, ces décisions “Donner aux enfants le droit de choisir”. “Cela évitera beaucoup d’ennuis à mes parents et ils pourront se concentrer sur l’amour de ces enfants.”a-t-il déclaré aux médias. « Ils vont enfin pouvoir dire oh ! »La mère de Juliette, Violetta Duib, a dit de manière rassurante.
La condamnation est conforme aux demandes de la solliciteure générale Kathryn Levy et à la décision du tribunal de première instance. “C’est de la performance pure et simple.”averti, le juge était un marteau “rampé” Avant la mort par balle d’une femme de 34 ans à l’Ile Rousse, en Corse, le 3 mars 2019. “Se présenter à la porte de quelqu’un avec une arme chargée est prémédité.”demanda-t-il aussi.
En défense, M.ré Gilles Antomarchi et M.ré Jean-Paul Ion a défendu la thèse du premier coup accidentel après avoir raté le deuxième coup volontaire, niant la préméditation, mais “Pas plus”. “Je n’y suis pas allé pour ôter la vie à Julie.”, répète l’accusé. En ce qui concerne la peine d’emprisonnement à perpétuité obligatoire, “C’est la punition des tueurs en série”M. était en colèreré Antomarchi.
La procureure générale Julie Duib a rappelé les menaces proférées contre les amis de la jeune femme, son entraîneur sportif fréquent et son père lors de la détention de l’accusé après sa mort. “Rien ne l’arrêtera même s’il est emprisonné”a conclu que Mje Lévi. Selon ses avocats, ses abus étaient liés à l’utilisation de stéroïdes anabolisants. En vain ils ont demandé au jury de laisser tomber “Abolition de la compréhension”.
“Je m’excuse”
Auparavant, Mré Francesca Citelli, l’avocate des deux fils du couple, s’est adressée au tribunal “Protection du père”représentant des garçons “J’ai peur qu’il sorte de prison et qu’il les attrape.”. Bruno Garcia Cruciani, “homme dangereux”est “fréquemment utilisé” leurs enfants “comme un propriétaire” et les a fait “Pour toujours fils d’assassins, pour toujours orphelins”il a confirmé.
“Je veux dire un mot à Julie.”Bruno Garcia-Cruciani a déclaré avant de se retirer du tribunal vendredi soir. “J’ai pris la vie de Julie”, “Mère de mes enfants” et “Je m’excuse”, “Je suis désolé à ce sujet”. Aussi ceci “Excusez-vous auprès de la famille de Duib”. Concernant son enfant, elle a déclaré au tribunal : “Je ne les quitterai jamais”.
Ce procès A “Meurtre d’une femme symbolique” Selon Jean-Sébastien de Casalta, l’un des avocats de la famille Duib, l’accusé a été montré. “voleur de vie”, “Voleur de rêves”, “voleur d’amour”.
Choc social, ce crime, le trentième sur 149 femmes en France en 2019, a conduit le gouvernement à organiser un “Grenel” contre les violences faites aux femmes.