

La récente décision d’Israël d’imposer des sanctions à l’Autorité palestinienne après le vote de la résolution aux Nations unies (ONU) a fait sensation au sein de la communauté internationale.
Le 30 décembre, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution sollicitant l’avis de la Cour internationale de justice (CIJ) sur la question de l’occupation israélienne des territoires palestiniens. Le texte non contraignant appelle également Israël à mettre fin à la colonisation dans les territoires occupés. Quelques jours plus tard, pour faire “payer le prix” Pressant l’Autorité Palestinienne pour la résolution, Israël a annoncé une série de sanctions, en particulier des sanctions financières telles que le prélèvement de millions d’euros sur les impôts palestiniens.
Dans un communiqué envoyé aux journalistes lundi 16 janvier, une quarantaine d’Etats membres des Nations unies l’ont confirmé. “Son soutien indéfectible” Devant la CIJ et le droit international, exprimez-vous. “Profondément préoccupé par la décision du gouvernement israélien d’imposer des mesures punitives au peuple palestinien, aux dirigeants et à la société civile suite à une demande de l’Assemblée générale” avec le tribunal.
“Quelle que soit la position de chaque pays sur la résolution, nous rejetons les mesures punitives en réponse à une demande d’avis de la Cour internationale de justice et de manière générale en réponse à une résolution de l’Assemblée générale, et nous appelons à leur retrait immédiat de la demande”ajoutent-ils.
“Deep Concern” d’Antonio Guterres
La déclaration est signée par les pays qui ont voté pour la résolution (Algérie, Argentine, Belgique, Pakistan, Afrique du Sud, Irlande, etc.), mais par certains qui se sont abstenus (Japon, France, Corée du Sud, etc.). voté. Contre (Allemagne, Estonie, etc.).
“C’est important car cela montre comment les pays ont voté, ils sont unis pour rejeter les mesures punitives.”L’ambassadeur palestinien auprès des Nations unies, Riyad Mansour, s’en est félicité dans un communiqué.
Interrogé sur la publication du communiqué, un porte-parole du secrétaire général de l’ONU a réitéré “profonde préoccupation” À propos d’Antonio Gutierrez Les récentes actions d’Israël contre l’Autorité palestinienneen le désignant“Il ne devrait pas y avoir de représailles.” En collaboration avec la CIJ.
Le Conseil de sécurité doit se réunir mercredi sur la question de Palestine. Début janvier, une réunion à la suite de la visite d’un ministre israélien sur l’Esplanade des mosquées de Jérusalem-Est a déclenché un violent échange d’armes entre diplomates israéliens et palestiniens.